PRO B : Limoges s’englue dans le marais poitevin


Voilà, c’est fait.

Saison terminée pourle basket Pro, Paris et Poitiers accèdent à la PRO A et Limoges reste en Pro B. L’engouement de ces dernières semaines a pris un coup de froid; à Limoges, on n’est pas habitué à perdre les finales. Et bien maintenant, on sait ce que ça fait. La déception est la hauteur des attentes qu’a suscité cette finale.

Trop de pertes de balles, trop de shoots ratés, y compris sur des positions ouvertes, Bercy a vraisemblablement perturbé nos shooteurs maison : Mohammed, Hinson et Salmon qui cartonnaient à 50% de réussite à 3 pts en play-off.

capsuparis

Cette équipe de Poitiers a méritée son accession.

Il est à noté que la plupart de ces joueurs jouaient déjà lorsque le club évoluait en nationale 1, ce qui rend la performance d’autant plus remarquable. Cette équipe joue avec seulement 2 américains alors que la plupart des équipes de ce niveau comptent des joueurs communautaires. Il faut tirer un grand coup de chapeau aux pictaviens et leur souhaiter beaucoup de réussite en PRO A. Espérons pour eux qu’ils ne vont pas se faire piller leurs joueurs et leur entraîneur.

Limoges va devoir continuer son chemin de croix pour retrouver l’élite, sachant que l’an prochain, il va encore y avoir de sacrés clients à affronter; à commencer par Pau-Orthez qui vient d’engager Didier Dobbels, parfait connaisseur de la Pro B.

Sur ce qu’on a vu cette saison, le CSP a eu trop de déboires dans son recrutement pour pouvoir prétendre à l’accession, ce sont finalement les plus stables qui ont réussis. Il va donc falloir trouver les hommes de la situation, un meneur ? un pivot ?

Quid de Bradford et Hinson ?

Espérons que beaucoup de joueurs vont rester pour conserver la dynamique et le collectif puis repartir du bon pied en évitant les blessures de début de saison qui nous plombent depuis 2 ans.

Bref, il va falloir être un plus patient pour retrouver l’élite…

Un mot sur les commentaires du match : merci à Jacques Monclar et David Cozette pour la qualité de leurs commentaires : techniques, drôle, sérieux, bref, intéressants quoi.

BASKET, PRO B, LIMOGES CSP – PARIS LEVALLOIS….puis PB86


Il est jamais trop tard pour raconter, ce que tout le monde (à limoges) attendait arriva. Une salle pleine comme un oeuf avec des travées bien garnies, (quid de l’époque où on nous saoûlait pour ne pas rester debout mais où il fallait s’asseoir : poulet souviens toi du barbichou révolté !)

Cette soirée fût magnifique et digne de la grande époque, nous n’avons pas boudé notre plaisir de revivre un petit moment de gloire, fut-il en demi-finale du championnat de France de Pro B. La salle était cette fois-ci électrique, tout le monde est arrivé plus tôt, les petits drapeaux étaient de sortie, les gosses découvraient ce que c’est qu’une grosse ambiance de match (le mien était debout sur les chaises), quelques anciens avaient fait le déplacement : l’inusable Appolo Faye, Diamory Sylla (artisan de la remontée en Pro B), Jean-Michel Sénégal, Mike Brooks avait fait le déplacement pour le quart contre Clermont.

A peine les joueurs sont entrés sur le terrain que c’était déjà chaud, tout le monde debout avec un speaker qui chantait : ça fait bien des années qu’on avait pas entendu ça !

Bradford en chef d’orchestre a fait le show, à l’américaine, dés son entrée dans l’arène, chouchou du public qui l’a vite adopté, c’est le dynamiteur qu’il manquait à l’équipe.

Mais on a aussi trouvé un coach qui a changé pas mal de choses en quelques semaines, si Olivier Cousin a amené beaucoup de rigueur en défense, Eric Girard a amené beaucoup de sérénité en attaque, pas de doute dans les shoots, une balle qui tourne rond, des positions de shoots pour les bombardiers maison : Mohammed, Salmon, Hinson….bref du jeu et du plaisir.

Rigoureux pour ceux qui s’emballent : demandez à Hinson qui est sorti 20 secondes pour se faire sermonner pour un shoot casse-croute puis qui re-rentre tout de suite.

Bref, à la sortie, un match de feu pendant 40 minutes, Paris qui a tenté de résister a fini par lâcher le morceau et s’est fait submergé par la vague noire et blanche. Le public debout à 4 minutes de la fin du match pour ne pas relâcher la pression 1 seconde et enfin la délivrance…

Tour d’honneur, joueurs grimpés sur les tables, bref la totale !

Maintenant, tout le monde est tourné vers Poitiers, oui, ils nous ont battus 2 fois cette année, comme Clermont et Paris d’ailleurs.

Cette équipe est sûre de son basket et s’est déjà fait surprendre en finale l’an dernier. Et puis, son président l’a dit (parait-il) à Frédéric Forté qui réclame plus de places pour les limougeauds, il en a obtenu 500 de plus, soit un pauvre total de 1200 places environs contre 2000 pour Poitiers, si l’an prochain vous allez en finale, comme nous, vous aurez 2000 places….ça c’est présompteux !

Mais laissons dire et place au « combat des chefs » cher à l’ami Tortos !

Basket, limoges csp, blessé à la maison…


Ce qui devait arriver, arriva. En ouverture du championnat de France de Pro B de basket-ball, le Limoges CSP s’est fait battre par Paris-Levallois.

La préparation partait bien avec des victoires probantes pour finalement finir en une hécatombe de blessures : Passave, Emerson, Harrington et Oyono..

Tout juste revenu pour le match, Emerson et Oyono n’ont pu contenir le secteur intèrieur parisien…comment leur en vouloir avec quelques jours de basket dans les pattes. Harrington encore out pour quelques semaines, c’est une gachette qu’il manque. Le CSP a engagé un jeunot, Kevin OLEKSIAK, tout frais moulu de l’université N-C Greensboro (NCAA). Bref, rien de folichon pour Olivier Cousin qui doit encore composer avec une équipe reconstituée à coup de « jokers médicaux ».

On l’a déjà dit mais les années se suivent et se ressemblent, à ceci prêt que cette année, il faut monter !

Samedi soir, le CSP se rend à Antibes pour un match déjà important afin de ne pas perdre le contact en attendant le retour de ces éléments blessés.

Finalement, le CSP a peut-être pris une douche froide comme l’indique l’équipe mais je ne trouve pas cela si inquétant de perdre de 12 points contre Paris, considéré comme l’ogre du championnat avec une équipe boitillante.

Allez les gars, faut mettre le bleu de chauffe à Antibes !

Basket, Limoges CSP : Le pivot Johan Passave blessé


Le neo pivot limougeaud – titulaire – Johan Passave s’est blessé lourdement à l’entraînement, les examens ont révélé un trait de fracture très net au niveau du 5° méta. Il a été immédiatement plâtré et sera indisponible pendant 45 jours….

Cela ressemble fort à une fracture de fatigue, donc souhaitons lui un bon rétablissement et un repos salvateur.

Décidément les débuts de saison se suivent et se ressemblent, à 15 jours d’un match d’ouverture ultra important contre Paris Levallois, l’ogre du championnat de Pro B, le CSP se trouve face à une nouvelle difficulté à surmonter, car si le club a droit à un « joker » médical, il ne peut-être que français et comme chacun le sait, les pivots français ne sont pas légion…

« Exit » cette mauvais nouvelle à laquelle il faut se faire, en voici une meilleure, le CSP vient de signer un nouveau sponsor privé, le groupe Intermarché s’est engagé en tant que sponsor principal aux côtés du groupe Fagor Brandt

Cet engagement ne place pas le CSP comme le plus gros budget de Pro B puisque Paris Levallois reste largement au-dessus mais porte le budget global à 2.5 millions d’euros annuel. Il faut reconnaître que c’est une prouesse quand on sait d’où le club revient depuis quelques années. Espérons que cela se matérialisera par une accession à la Pro A dés cette année.

Pour en savoir plus : rendez-vous sur le site officiel : http://www.limogescsp.fr/

Du Basket Français à la Télé et Bergeaud pour Prési !


Quelle ne fut pas ma surprise ce jour , au retour d’un tournoi de foot à 7 maitrisé de main de maitre , de voir la couverture médiatique exceptionnelle réservée par Canal + à la finale du championnat de France. On se serait cru aux grandes heures des duels entre le CSP Limoges et l’Elan Béarnais ou l’ Asvel du milieu des 90’s. Le basket est définitivement un sport télégénique et en plus lorsqu’il est raconté par les excellents David Cozette et Jacques Monclar c’est du pur bonheur pour les téléspectateurs. A quand Cozette à la place du pathétique Josse ? Le seul hic de la rencontre fut le non suspense. Les Poulidors du Basket le Sluc Nancy ont enfin réussi à vaincre le signe indien en atomisant des Roannais étonnament « en-dedans » sous les yeux de Tony Parker et de la sublime Eva Longoria. Jean Luc Monschau au bout de 78 ans de coaching en Pro A peut enfin s’enorgueillir d’avoir conquis le Graal. Greg c’est ton tour !

Il est à noter que plus tard dans la soirée en venant à bout de Poitiers (76-63) en finale du championnat de France de Pro B, Besançon s’est offert son billet pour la Pro A et évoluera donc la saison prochaine à l’étage supérieur. Une petite pensée pour la supporter n° 1 des poitevins la sus-dénommée Anne qui – n’en doutons pas – se lèvera demain matin une fois n’est pas coutume avec une vilaine amertume aux entournures !

Claude Bergeaud sera le successeur de Pierre Seillant en tant que directeur du club de Pau-Orthez. L’ancien entraineur Palois et de l’équipe de France , fier Ariégeois , a accepté la délicate succession.  « Le problème du capital étant en passe d’être résolu dans les heures qui viennent, il appartient désormais à toutes les forces du club, autour de Claude, de mettre en oeuvre le projet sportif » a declaré Alain Béral. Le président a affirmé sa toute confiance envers le nouveau technicien en ajoutant: « le projet que porte d’ores et déjà Claude Bergeaud tient la route ». Quel meilleur choix que notre Claude Bergeotti national pour remplacer l’ultra charismatique Pierre Seillant  pourfendeur préféré du Limoges CSP.

Basket : Limoges csp / SPO Rouen, beaublanc retrouve des couleurs


L’atmosphère était lourde ce soir à Beaublanc : plein comme un oeuf pour recevoir Rouen le leader du championnat de France de Pro B, le stade sentait la nervosité, l’électricité, l’envie de gagner, le public était la tôt pour sentir l’ambiance, voir la salle se remplir, discuter autour de la dernière performance à Quimper, de l’arrivée de Olivier Cousin, du retour de Lukowski, bref, tout le monde était là pour gagner et soutenir son équipe. Ce soir, Beaublanc a retrouvé ses couleurs et bien qu’il ne s’agisse que d’un match de Pro B, l’âme des grands rendez-vous était bien présente. Car ne nous y trompons pas, il s’agissait bien plus pour Limoges que d’un simple match, c’était la première de Olivier Cousin, la « vraie première » de Lukowski, l’arrivée de Mekdad, Robinson et Oyono, il fallait que ce soit le signe d’un renouveau certain pour le Cercle Saint Pierre qui doit marquer le début d’une remontée en championnat si le club veut retrouver la Pro A.

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Sur le terrain, on a retouvé une équipe de guerrier avec de la cohésion. Olivier Cousin a fait de la défense le mot d’ordre et ça se voit, avec des rotations trés fréquentes, il maintient une pression constante sur les adversaires. Les joueurs voulaient gagner chaque ballon, refusaient d’avoir manqué un panier quitte à protester. Limoges a d’ailleurs failli y laisser le match à cause de 2 fautes techniques qui ont remis Rouen dans le match pour les voir virer en tête à la fin du troisième 1/4 temps.

Ce soir, un joueur m’a marqué, c’est Lukowski. A la peine physiquement tout au long du match, parfois à se demander s’il avait envie de jouer, loupant 3/4 lancers-francs dans le dernier 1/4 temps, il a prouvé qu’il était bien le grand joueur que l’on attendait pour remédier au fin de match difficile que le CSP connaît depuis 2 ans. Il a géré les 5 dernières minutes de façon magistrale marquant tous les paniers importants dont un à 3 points au bon moment suivi d’une pénétration déterminante. On peut dire ce que l’on veut, c’estla patte des grands qui prennent leurs responsabilités dans les moments chauds.

Dans les travées de Beaublanc, on trépignait, ralait, vociférait, protestait, s’enflammait à chaque coup de sifflet ou on s’enthousiasmait à chaque interception ou panier.

Une chose est indéniable, c’est qu’il s’est passé quelque chose ce soir, on a retrouvé du plaisir et de l’envie, des coups de klaxon dans les rues après le match, des sourires à la mi-temps et de gens contents après le match, le reste suivra tout seul…

C’était une ambiance que l’on avait pas connu depuis longtemps, pourvu que ça dure.

Basket, Limoges a un nouveau coach.


Après un début de saison mitigé et décevant, le président du Limoges csp Elite a décidé d’arrêter ses fonctions de coach pour laisser la place à Olivier Cousin. Souhaitons que cet entraîneur à l’ascention fulgurante soit l’homme de la situation et amène la confiance et la régularité qu’il manque à l’équipe actuellement.

Débarqué du bateau palois en perdition depuis quelques temps, Olivier Cousin retrouve le Pro B où il avait été élu meilleur entraîneur de l’année l’an dernier avec l’UJAP Quimper.

Il a d’ailleurs pu assister cette semaine à la victoire de sa nouvelle équipe contre Saint-Etienne. Ce Match gagné semble-t-il facilement à tout de même mi du temps à basculer. Saint-Etienne (qui joue en Orange !), actuel 4ème du championnat à fait souffrir et douter le csp toute une mi-temps sous l’impulsion d’un Mohammed Hachad de feu avec ses 29 points au compteur !

Avec le retour deLukowski aux commandes dés le mois de janvier, le départ annoncé de Roberts, c’est un CSP quelque peu chamboulé mais toujours avec l’ambition de retrouver la Pro A qui va commencer l’année 2008, en commancant par un match, hasard du calendrier, à Quimper…

Souhaitons lui bonne chance et vivement la Pro A.

Limoges csp : label école française de minibasket.


Suite à la débacle de l’équipe de France à l’euro.  On se pose la question de savoir comment sont formés nos jeunes basketteurs. Depuis quelques années, la FFBB a mis en place le label « Ecole française de minibasket ».

Label Ecole française de basket

Ce label est né de la volonté de la FFBB de promouvoir une démarche de qualité dans les clubs qui accueillent les plus jeunes des pratiquants en donnant une véritable identité, notamment sur les catégories les plus jeunes (les minis baskets), celles-ci étant le plus souvent négligées dans les clubs et se trouvant confrontées à des règlements conçus par et pour des adultes.

Pour obtenir ce label, il faut répondre à un cahier des charges qui dit en substance cela (texte honteusement pompée sur le site de la FFBB mais ils me pardonneront, c’est pour la promotion du basket) :

Avant de reprendre ce cahier des charges, quelques commentaires personnels : je pense sincèrement qu’il faut soutenir et encourager cette initiative de la fédération car il est évident que le basket souffre d’un vrai problème de formation des joueurs mais je suis aussi convaincu que cela ne doit être qu’un début et que le basket, surtout chez les jeunes (jusqu’aux équipes espoir) doit se structurer et se professionnaliser et que la FFBB ne doit pas se contenter d’éditer un cahier des charges mais doit être pro-active dans ces initiatives. Comment, je n’ai pas la prétention d’avoir la solution mais simplement quelques idées pour faire avancer le schmilblick !

Le cahier des charges disponible avec d’autres document et conseils sur : www.basketfrance.com

L’Ecole de MiniBasket est un espace d’accueil d’enfants de moins de 11 ans qui souhaitent pratiquer le BasketBall. Les catégories : Baby (5-6 ans), Mini-poussins (7-8 ans), Poussins (9-10 ans).
B) L’Ecole de MiniBasket dispose, au sein du club, d’une organisation administrative, sportive et pédagogique.
C) L’Ecole de MiniBasket dispose d’équipements aménagés et adaptés à l’enfant.
D) L’Ecole de MiniBasket organise les apprentissages en fonction du niveau de jeu et non des catégories d’âge. L’apprentissage par le jeu est privilégié.
E) L’Ecole de MiniBasket propose des formes de rencontres et de compétitions adaptées au niveau de pratique.

Elle doit disposer de moyens permettant son fonctionnement pour accueillir les enfants dans de bonnes conditions. Certains indicateurs apparaissent d’emblée obligatoires puisqu’ils engagent un minimum de qualité et surtout la sécurité des enfants permettant à terme de mieux les accueillir et en plus grand nombre.

1. L’organisation pratique et administrative

La mise en œuvre et le bon fonctionnement d’une Ecole de MiniBasket nécessite :

– Une aire de jeu adaptée, sécurisée avec des paniers à 2m60 ou des paniers de baby-basket, en nombre suffisant.
– Du matériel de jeu : ballons T3 et T5, ballons souples, en nombre suffisant.
– Du matériel pédagogique : chasubles, plots, lattes, cordes, cerceaux… selon les possibilités.
– Un ou des créneaux horaires de 1h à 1h30, avant 19h.
– Une personne qui prendra en charge les aspects administratifs de l’Ecole. Il serait bien qu’elle soit membre du bureau du club.

2. Les ressources humainesEn complément du responsable administratif, est associé un encadrement technique et pédagogique. C’est un entraîneur licencié, au moins du niveau « Animateur MiniBasket » ou « Animateur club », il assure l’accueil, les séances d’entraînement et l’encadrement des rencontres. II peut être enseignant de formation avec une formation complémentaire spécifique basket. II peut être aidé par des assistants (parents, jeunes du club…). L’importance de l’encadrement est fonction du nombre d’enfants accueillis. Il est souhaitable d’avoir un encadrant pour 8 à 12 enfants (8 en Baby). A chaque séance, prévoir la présence d’un adulte autre que les animateurs (sécurité, accueil, etc.).

Commentaires personnels : c’est là que c’est pas facile, dans le cas du CSP, rendons hommage à l’animateur qui encadre les jeunes entraîneurs et ces derniers pour se dévouer à venir encadrer et s’occuper des enfants. Ils sont souvent étudiants et ont parfois d’autres choses à faire ou à penser le mercredi après midi mais ils sont là pour s’occuper des enfants et le font trés bien. Mais là aussi, la fédération ne peut-elle pas encourager ces jeunes d’une façon ou d’une autre, sans parler d’argent bien sûr, mais je ne sais pas un stage de basket avec des entraîneurs nationaux ou à l’INSEP pour voir les pro au travail (là aussi, ce ne sont que des idées jeté en vrac sur le blog), histoire de leur donner un peu plus le goût de continuer.

3. L’activité sportive – Présence de jeu réel dès le départ, par des formes de jeu adaptées (jeu réduit, etc.).
– Mettre l’enfant en situation de réussite.
– Travail par atelier : optimiser l’espace et le matériel (1 ballon par enfant).
– Mise en place de règles adaptées.
– Fonctionnement par niveau de jeu.
– A chaque âge son ballon et sa forme de jeu.
– L’Ecole est organisée en niveaux d’acquisition de savoirs et de compétences, en dehors de toute référence à l’âge et au sexe.Les renseignements qui suivent sont indicatifs. Le fonctionnement pédagogique de l’Ecole de MiniBasket doit tendre vers ces principes.Chaque niveau peut être subdivisé en cycles d’apprentissage. Fréquence des entraînements :

– Baby-basket : une séance par semaine
– Mini-poussins : une séance par semaine (ou plus si spécifique)
– Poussins : deux séances par semaine (ou plus si spécifique)

Les formes d’apprentissage doivent être adaptées au niveau de pratique des enfants, elles sont évolutives. Les règles de jeu doivent être souples, simplifiées, adaptées. Elles doivent suivre la progression de l’enfant.

A CHAQUE ÂGE SON BALLON, SON PANNEAU, SA FORME DE JEU

Pour les rencontres, le jeu doit primer sur l’enjeu ! Les premières rencontres ne doivent pas se traduire en termes de victoires et de défaites. Pas de classement : autres formes jouées que le match : individuelles (lancers-francs, parcours, tests divers…) ou collectives (concours, contrats…).

Niveau débutant

– sans feuille de match
– sous forme de plateaux
– mixte
– par niveaux (équipes modifiables…)

Niveau plus confirmé

– feuille de match (par 1/4 temps si possible)
– participation à 2 1/4 temps minimum
– changement dans le dernier 1/4 temps

Possibilité de combiner les deux formules : plateaux et championnat

Commentaires personnels : ça c’est la vraie bonne idée car ça fonctionne, pas de remise de récompense, les enfants jouent et s’amusent sans se poser de question, se mettre de pression, engendrer de déception, sans compétition. Ils s’amusent : un point c’est tout.

UN CLASSEMENT PAR ÉQUIPE N’EST NI UNE PRIORITÉ NI UNE NÉCESSITÉ

Lorsque l’éducateur estime que les enfants sont prêts, il peut procéder à une évaluation des joueurs (tests inscrits sur un carnet ou sur des fiches individuelles). La durée d’un cycle de formation et l’évaluation qui le termine sont avant tout adaptées aux enfants. Chacun se construit à son propre rythme.

Au travers du jeu, les enfants peuvent également se mettre, à tour de rôle, en situation :
– D’ARBITRE (de l’auto arbitrage à l’arbitrage volontaire)
– D’OBSERVATEUR (par l’intermédiaire de fiches simples)
– DE MARQUEUR-CHRONOMETREUR

Ils peuvent également prendre en charge des séances de jeu, partager la responsabilité de constituer leurs équipes (à partir de critères clairs et connus de tous). En début, pendant et en fin de séance, les enfants sont associés à l’organisation et à la gestion du matériel.

4. Les éléments financiers

Tous les enfants doivent être licenciés à la FFBB

– Pour des raisons d’assurance.
– Pour que l’enfant et ses parents se situent dans le groupe sportif et s’intéressent à son fonctionnement.

Commentaires personnel : je crois qu’il faut que la fédération fasse plus que de conseiller et aide les clubs à provoquer cela, pour le vivre « un peu » (pas autant que je le voudrais par manque de temps), il est difficile de sensibiliser les parents. Peut-ête que la fédération devrait dépêcher un conseiller pour aider les animateurs à parler aux parents car cela aussi c’est un métier et c’est pas toujours évident d’avoir les bons mots pour sensisibliser, convaincre ou intéresser, bref aider les gens à gérer ce côté là.

5. La communication interne

Les parents doivent être associés au groupement sportif qui accueille leur enfant.
– Prévoir une réunion avec les parents au moins une fois par an (début de saison).
– Appuyer toute initiative des parents pour faire vivre l’Ecole (journal interne, fête, affichage, etc.).
– Accueillir l’enfant et les adultes l’accompagnant en début et en fin de chaque séance.
– Mettre en place une fiche de présence des enfants.

Si on faisait un blog !

6. La communication externe

Pour assurer son bon fonctionnement, le club et son Ecole de MiniBasket doivent se faire connaître, se faire aider…
Nous encourageons toute initiative vers la presse, la recherche de partenaires, les autres Ecoles, etc.

Commentaires personnels : cela s’appelle du marketing, c’est pas évident non plus quand on a pas l’habitude. Pourquoi ne pas proposer quelques fiches pratiques ou mettre des outils à disposition pour créer une émulation > un deal avec une plate-forme de blog par exemple pour que les écoles puissent venir faire leur blog sur le site de la fédération. Ou de façon plus général proposer des « recettes » pour aider ceux qui souhaitent à communiquer : y-a-t-il une charte de communcation : logo par exemple ?