Foot, équipe de France : La pelle du 18 juin…


Là, on a touché le fond, messieurs, on a le droit de perdre, on a le droit d’être mauvais sur un match, de ne pas marquer de but, de tomber sur plus fort mais de ne pas courir et de ne pas avoir une mini-dose d’orgueil, là c’est autre chose.

C’est un naufrage collectif ET individuel, M. Anelka, il va falloir revoir vos leçons de football pour comprendre où et comment se positionne un avant centre, M. Ribery qui exige son côté gauche, M. Machin qui veut ça, M. Bidule qui veut ci et patati et patata, j’ai l’impression qu’à l’exception d’un ou deux joueurs, cette équipe a 2 de QI et ça se voit. Le pauvre Valbuena qui rentre au milieu de cette apathie générale, j’avais l’impression qu’il était seul à courir !

Le sélectionneur ne trouvait même plus ses mots à la fin du match, j’ai cru qu’il allait chialer devant le journaliste qui l’interviewer, pathétique…

Ce matin, il y a au moins un consensus national, c’est que le Mexique mérite largement cette victoire avec sa fougue et son envie. Ce n’est pas la peine de sortir les calculatrice, à la niche et puis c’est tout.

Je ne peux pas m’empêcher d’avoir une pensée pour l’Irlande qui est restée à la maison et qui aurait certainement eu sa place dans ce groupe.

Allez, viva Zapata, la téquila paf, le chili con carne, les temples Aztèques et Laurano Blanco qui va avoir bien du travail pour reconstruire cette équipe.